Het dagboek van Bridget Jones

Bridget Jones (Renée Zellweger) a trente-deux ans, des kilos en trop et toujours pas de petit ami. Elle boit, fume et attend désespérément le prince charmant. Bien que sa mère ait à de nombreuses reprises tenté de la jeter dans les bras du rébarbatif Mark Darcy (Colin Firth), Bridget fantasme sur son patron, le beau Daniel Cleaver (Hugh Grant).Très inspiré du célèbreOrgueil et préjugés, de Jane Austen,Le Journal de Bridget Jonesa d’abord été un roman. Signé Helen Fielding, ce best seller anglais s’est vendu à plus de cinq millions d’exemplaires, s’imposant petit à petit comme un véritable phénomène de société. Bridget Jones se distingue de sa consœur américaine Ally Mc Beal par une attitude vraiment politiquement incorrecte. Elle boit trop, fume trop, dit ce qu’elle pense, gaffe, et possède un don inné pour se rendre ridicule. La Texane Renée Zellweger a magnifiquement rendu hommage à cette anti-héroïne, grâce à sa générosité naturelle et son sens de la comédie. Colin Firth semble tout droit sorti du roman de Jane Austen et Hugh Grant (moins idéal que d’ordinaire) trouve là l’un de ses meilleurs rôles. Produit par l’équipe deQuatre mariages et un enterrementet réalisé par la débutante Sharon Maguire, ce film pop se révèle pétillant et souvent drôle. Impossible de ne pas succomber à ce conte de fées irrésistiblement romantique.Les éditeurs se sont surpassés pour Bridget Jones. Elaboré comme les pages d’un magazine féminin, le menu animé fourmille de surprises et permet d’accéder à des bonus plus ou moins sérieux. Entre le commentaire audio de la réalisatrice, les interviews et le making of de rigueur (on soulignera la pertinence des remarques des acteurs, notamment de Colin Firth qui parle en sociologue accompli), on découvre le guide de Londres, le modèle de tricot du fameux pull au renne de Mark Darcy, des exemples de messages à enregistrer sur son répondeur téléphonique, des clips, un quiz (afin de visionner les hilarantes scènes coupées), etc. Une édition vraiment réjouissante !Le cyclone Bridget Jones débarque, prêt à faire chavirer tous les cœurs. Héroïne d'un roman britannique au succès phénoménal, Bridget Jones passe l'examen cinématographique avec un A+. Trentenaire, un brin boulotte, mal dans sa peau et perpétuellement à la recherche du prince charmant, miss Jones accumule les gaffes et les catastrophes. Ses petits malheurs finissent par la propulser sur le devant de la scène, au point qu'elle devient le sujet de convoitise de deux beaux jeunes hommes qui se l'arrachent. Comédie romantique véritablement hilarante,Le Journal de Bridget Jonesbénéficie d'une mise en scène très rythmée, d'une bande originale essentiellement composée de tubes, et surtout d'une actrice épatante, Renee Zellweger, véritable petit brin de folie et de légèreté. À ses côtés, un Hugh Grant plus charmeur que jamais, pour un film qui ne glisse jamais dans la mièvrerie et l'eau de rose. Un pur moment de bonheur.Marc MaesenA l'aube de sa trente-deuxième année, Bridget Jones, employée dans une agence publicitaire à Londres, décide de reprendre sa vie en main. Pour ce faire, elle dresse une liste de bonnes résolutions : La première : tenir un journal intime. La deuxième : trouver un petit ami, voire même l'homme idéal. Pourquoi ne pas s'habiller sexy pour se faire remarquer par Daniel Cleaver, son patron oe Et pas question de sortir avec l'insupportable Mark Darcy, un ami d'enfance ! Celui-ci est l'incarnation de tout ce que Bridget déteste chez un homme. En plus, il fréquente une peste mondaine répondant au doux nom de Natasha. La troisième : perdre du poids. Et la quatrième : arrêter de fumer.